1. |
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Tu soulèves des objets.
Fais attention Atondo!
Tu soulèves des boîtes pleines de désir.
Fais attention Atondo!
Transplantation de la colonne vertébrale.
Quand j’t’ais p'tit j’ai forcé trop fort après une boîte.
Haaaaa...J’ai encore mal partout!
Faut faire attention Atondo!
Tu soulèves des dauphins.
Fais attention Atondo!
Je te vois forcer comme un poulet.
Fais attention Atondo!
Sinon tu vas être obligé de t’faire faire une…
Transplantation de la colonne vertébrale.
Dans un futur pas si lointain tout l’monde va s’faire transplanter une nouvelle colonne vertébrale.
À frette, sec, même pas d’anesthésie locale, ayoye!
C’est pourquoi,
Fais attention A...
Fais attention A...
Fais attention A...
Fais attention Atondo!
Ouaiiiiiiiiiirrrrhhhhh!
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2. |
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J'ai en tête le portrait d'une nymphe
dévalant vers une station conçue dans une plaie fracassante
Où règne la déception d'une dernière vague
Où baigne le miel qu'expulse les glandes de ma Sainte Foi
Les vaches planent sans notion d'experts ou d'hommes
La lune récolte un art en fin de vie
L'aiguille féconde d'une fausse pensée
C'est l’illusion qui s'crosse sur ma jambe comme un chien
Les flots tranchants de nos distances
résolvent toutes possibilités
Sur mon dos sur ta plage latente
Le pouvoir exerce sa belle idée
Je connais une chimère au-delà des institutions
Je connais une prière qui échappe à nos propres pions
Je connais la vive erreur derrière tes deux yeux
Ou y scanne l'air sous un arbre natal
Quand les moustiques abriteront mes yeux
Quand l'égo et l'feu
Jetteront un essaim de mantras brouillés
Les os cassés l'horloge au cul
Démarre un cyclone
Quand les moustiques abriteront mes yeux
Nos histoires se faneront au gré du dégoût du printemps
L'étoile dans la gorge la flamme au sang
Démarre un cyclone
Quand les moustiques abriteront mes yeux
Rivé sur un néant
Je m'assoirai sur la machine funèbre
Les os cassés l'horloge au cul
Démarre un cyclone
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3. |
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C'est un mont inatteignable
qui fond un peu chaque jour, comme une bougie
Du fond de mon âme, elle me suit
et je la rallume pour les jours de pluie
Indestructible, je me casse
pour mieux me construire, à nouveau, à jamais
J’étais ta cible, de mes cendres
tel un phénix, aujourd'hui je renais
Et je cours, je cours, sur le sable je me noie
mais je me raccroche aussi
Et je cours, je cours, sur le marbre
je feins, je tombe mais je me relève comme
comme par magie
Et je cours, je cours, sur le sable je me noie
mais je me raccroche à la vie
Et je cours, je cours, sur le marbre
je feins, je tombe mais je me relève comme
comme par magie
C’est un fleuve, inarrêtable
qui va, au gré des saisons, contre vents et marées
Sur cette table, les cartes se mêlent et dévoilent tous les moindres secrets
Indélébile, mon encre
façonne et dessine un ciel vaste et pourtant
de ces exils, mes ailes me propulseront vers un soleil brûlant
Et je cours, je cours sur la glace
je me vois mais je ne me reconnais pas
Et je cours, je cours
je cours toujours un peu plus loin et
si je me perds, c’est dans les bois
Et je cours, je cours sur la glace
je me vois mais je ne me re-connais pas
Et je cours, je cours
je cours toujours un peu plus loin et
si je me perds, c’est dans les bois
C’est un coeur, qui bat dans la terre
et il bat au rythme du son et chacun de mes pas
Tous ces mystères n’en sont plus
quand je les touche du bout de mes doigts
Indestructible, je me casse
pour mieux me construire un château, un palai
J’étais ta cible, de mon feu tel un phénix
et plus forte que jamais
Et je cours, je cours sur la lave
je me brûle mais de celle-ci je renais
Et je cours, je cours sur le marbre
je feins, je tombe mais je me relève toujours comme par magie
Et je cours, je cours sur la lave
je me brûle mais de celle-ci je renais
Et je cours, je cours sur le marbre
je feins, je tombe mais je me relève toujours comme par magie
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4. |
Punir les corps - Venus
03:58
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It’s a brave new world
One we can’t forget
Where ladies are ice cold
And they like cash money
Depossession in a sexy fashion
And then he comes with his sandals, clapping
RUN!
I would die for you
|
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5. |
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T’as trouvé ta chanson dans un fond de sacoche
avec le rouge-à-lèvres qui se prenait pour trois corps vides de sang.
Ça coulait sur tes chansons, ça écrivait ton livre ;
à force de ne plus pouvoir ramer,
tu finis par devenir la rame.
Il meurt comme il vit.
Il vit comme il meurt.
Pis toi, t’as jamais su vivre mort.
À force de ne plus savoir nager,
tu finis par mourir.
Tu trouves ta place dans les vagues
tu suis leur mouvement singulier.
Tu te ramasses tout échoué avec le sable qui te sert
de salive, de sang et de vitalité ;
t’es devenu moi.
Il meurt comme il vit.
Il vit comme il meurt.
Pis toi, t’as jamais su vivre mort
|
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6. |
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The devil and the sea are breathing next to me
The devil licks my hand to feel and understand me
Talking 'bout the revolution
Longing for the tide to fill in
Falling into devolution
Starring into dissolution
We desecrate the place by blocking the prophase
Then peeled up the blank, mutated in defence
Talking 'bout the revolution
Longing for the blood to fill in
Eaten by the evolution
Starring into dissolution
The devil and the sea are crying next to me
Their eyes felt up with sand, they can understand
Talking 'bout the revolution
Waiting for the scene to flash in
Falling into devolution
Amber eyes, but no conclusion
Mourning have you ever felt sad?
Mourning have you ever felt sad?
A wish to see less
Amber, seaglass
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7. |
Les Anodins - Côte météo
03:16
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Je suis sorti de chez moi en courant, c'est pas mêlant, j'étouffe en dedans
Un peu d'air pour respirer, un endroit bien isolé des bruits acharnés
En arrivant tout en haut de la côte, voyant deux villes côte-à-côte
Ma fierté grandie, celle de vivre ici, immédiatement se détruit
Je me retourne et derrière moi ces cheminées là-bas font tout un émoi
Emblème de la création d'une région et à la fois de destruction
Malédiction que ma tête traverse, plongée dans la controverse
Car au sommet d'une station météo mes yeux en ont déjà vu trop
Je me suis sauvé embêté par mes pensées toujours incontrôlées
Anodin inanimé ce nom affecté reste au premier degré
Je suis sorti de chez moi en courant, c'est pas mêlant, j'étouffe en dedans
Mais j'étouffe autant dehors, tel est mon sort je sors pour affronter le nord
Et je repense au temps de mon enfance, aveuglé par l'ignorance
Je veux y retourner sans être angoissé pour glisser sur l'ancien chantier
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8. |
Simplet - Mysticisme
02:38
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9. |
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10. |
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Fuck, shit, cunt, son of a bitch, we fucked up so quick. We turned it all to shit. I mean, god, what the fuck is this?! Pressure us to enroll, I mean, sorry, thanks, but no. I won’t be a pawn in your cult, I’d much rather stay alone.
First step fixation, then comes dissection, body fat and water surgically removed, then the specimen is hardened. Forced impregnation, subject positioned, molded as desired. The plastinate is now dry, odorless and labelled.
Next add a spoonful of piss to cover the taste of shit. Bland, mundane and flavorless. Filter life, keep it fake. Fake smile in a world of pain, fresh killer style and a pretty face. Filter life, keep it fake.
There’s nowhere to run, no one stops till the race is done. Plastination.
Let’s get the plague! All talk the same, look the same, emptied out and laid to waste. Filter life, keep it fake.
There’s nowhere to run. Fuck it all, shoot me right in the nuts. Plastination.
Soulless, thoughtless, cannot speak,spineless, with no heart to feel. Plastination.
So fucking done with your bullshit games, you censoring pieces of fucking garbage. Fuck all of you cunts, so fucking done, death to all.
Deaden me, devitalize the fuck out of me. Fix me up, plastinate. Purify me, make a fucking RealDoll out of me. Fix me up, plastinate. Please get me the fuck out of here.
Your flesh will rot, you will rot. Your flesh will rot, and plastic you will become. Your flesh will rot, and plastic you will be-
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11. |
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Il accumule des beats comme des dettes d’étude
Les samples portent plainte en vertu de sa vicissitude.
Quel festin au Vieux Duluth, les homards se revendiquent de la rive-sud.
Oh! Ma quiétude ; les crustacés font de l’attitude.
Qui empoisonne le temps perdu? Qui s’impressionne des vertus de ce rabougri qui s’impressionne des frais et moulus? Qui met des accents sur les us et coutumes propres offusqués et aux mollusques tout frus qui tuent?
On l’appelle le pneumothorax quand il s’inspire des anglo-sax saxophonistes, il désaxe et malaxe une série de slaps qui le laissent gravelax, laxiste : sorte de met de viande coutumax. Il surtaxe sa syntaxe, pour ça on le prive de relax. On lui taxe ses –ations. On lui prête des actions malsaines, lui, l’opopanax incarnation des vers sans date de péremption.
Poète, batteries en sus, vendues séparément, la plume, l’encre, la pieuvre frappe les poissons délibérément. On le met dans l’eau. Il prend de l’ampleur, se sont des larmes de rappeurs qui alimentent l’éponge de ses ardeurs. Si ton ciel a pas de couleur, c’est ben de valeur. Non. C’est pas de valeur. C’est juste une couleur qui vient d’ailleurs. En primeur, Yog-Sototh en battle rap, c’est lui le meilleur.
Angiosperme, asperme, endosperme, gymnosperme, monosperme, périsperme, permet et sperme.
Juste une rubrique du dictionnaire de rimes qui se referme. Dans quelques instants, ce rap se mènera à terme.
Vade retro Santana, croix de bois, croix de fer avec ses doigts de surcroit. Il exorcise les pisse-froids en se contentant du titre de vice-roi.
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12. |
Mimizu - Mint
01:46
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13. |
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14. |
MC Luap - Altayeb
03:18
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15. |
Malaimé Soleil - Cactus
04:27
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Cactus pique moi plus que mon kick que mon crush,
qui aimerait peut-être s'asseoir dedans ma tête.
Cactus pique moi plus que mon kick que mon crush,
qui aimerait peut-être s'asseoir dedans ma tête.
Cactus pique moi plus que mon kick que mon crush,
qui aimerait peut-être s'asseoir dedans ma tête.
Lune chloroforme, s'te plaît fais passer le temps
j'ai peur de mes sentiments.
Soleil soleil rentre moé pas d'dans
fais pas brûler mon coeur
fais pas brûler mon sang.
J'peux partir en voyage a'ec pas une criss de cène
mais j'aurais pas l'courage de lui dire que je l'aime.
J'tu trop fucké pour toé?
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16. |
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17. |
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18. |
MjLK - King KaRoule
02:56
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19. |
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And when everything has been said and done
After you tore the colors from the sky and the sun
When there's no one left to blame
Only then you decide to elevate things again
Oscillate again and again and again
You, the constant of this simple fatality
Oscillate again to the only things you believe
Never went off the beaten path, always fearing possibilities
This is not the end or the beginning
These are the pieces you will always be lacking
Stuck in this vicious void of stability
The hourglass's never been right side up
And you failed to notice
Perpetuate this déjà-vu
As long as the gears are turning
Within the greatest machination
You are nothing
I beg for evolution
You beg for mercy
Oscillate
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20. |
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Greetings, old playmate
So glad you could come
I'm flattered you chased me so far
Let us resume the fun we had on Omicron
Remember you had friends down there...
I'm flattered you have come to chase me so far
But then again, it was you who caged me the last time...
I remember their words of desperation
I remember their lust for life
I was your assignment and you have failed
Don't bother with a cage this time
You'll join them soon enough, ignore the pain
It's only gonna get worse
I remember their agony...
I remember the pain...
I just had to deepen it
I told them "struggle as much as pleased
I enjoy it, it makes me laugh"
Such pain I must help deepen it
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21. |
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D’aussi loin que se touchent les pôles
Entre les champs de vagues
On pourra naviguer jusqu’à l’aube
Et briser les lames
En attendant
Que les aimants se place
En attendant, de prendre son élan
Et remettre à leur place
Les contre-temps et nos élans
Si le temps s’arrête pour un moment
Après le froid glacial
On pourra réchauffer nos os
Et s’immerger la peau
En attendant
Que les aimants se place
En attendant, de prendre son élan
Et remettre à leur place
Les contre-temps et nos élans
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22. |
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23. |
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Warped by the void
I’m trying to catch you
And I run
I run
I run
I run
Nothing comes
Evaporates
And I try
I try
I try
I try
Where are you
Hiding from us
Come to me
Come to me
Come to me
Come to me
I will end up having you
Take your time
I am patient motherfucker
F U C K I D E A
F U C K I D E A
Warped by the void
I’m trying to catch you
And I run
I run
I run
I run
Nothing comes
Evaporates
And I try
I try
I try
I try
Where are you
Hiding from us
Come to me
Come to me
Come to me
Come to me
I will end up having you
Take your time
I am patient motherfucker
F U C K I D E A
F U C K I D E A
I’ve got you for the rest of this song
You are mine now
You are mine now
I’ve got you for the rest of this song
You are mine now
You are mine now
I’ve got you ‘till the end of this song
You are mine now
You are mine now
F U C K I D E A
F U C K I D E A
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24. |
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25. |
Toba - Brotherhood
09:50
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26. |
Pas D'Signal - Les murs
02:55
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Les murs font des rêves
et toi tu meurs.
Les fous praillent le silence
les regards se fuient
et les cris se mêlent aux restes.
Les murs font des rêves
et toi tu meurs.
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27. |
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28. |
Izun Tè - Procès Verbose
03:30
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|||
Ce que tu diras pourrait être chanté contre toi.
Chaque fois que tu aimeras l’impossible,
une entaille se glissera entre tes doigts.
Chaque fois que tu énonceras les jours d’hier ;
aujourd’hui exécutera quinze minutes de gloire.
Coupe-papier : poétique du coup de couteau.
Ce qui nous arrive, nous le méritons.
La triste réalité est que ça ne nous servira en rien de leçon,
mais seulement de sous-verre sur une table mal rasée.
Ce que tu chanteras pourrait être tu comme toi ;
comme au moment où les verbes se conjuguent.
Coupe-papier, coupe-parole ; plusieurs utilités.
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29. |
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Time passes by
Looping in a constant circle of death
Tired, suffering, afraid
You take every dose you're told to
Confident that people want to help you
But deep down you fear death
And you doubt
The efficiency of the cure
Ultraviolet clouds
Prism of light
Bursting into a mist of water
Matter has lost its touch
Reality is melting down
Like ice in the burning sun
And I'm cold, freezing
My head is spinning
I lost my drive and my strength
I need you to
Leave me alone
Leave me be
I owe you nothing
I asked for nothing
I care for one thing
I wish for something
For me to be able to feel
Anything again
Anything again
I care for one thing
I wish for something
For me to be able to feel
Anything again
I don't need your love
I don't want your compassion
I dealt with your absence
Now I choke in your presence
I don't need your love
I don't want your compassion
I dealt with your absence
Now I choke in your presence
Get back up
Feel everything again
Heal back on
Don't let this be the end
Fight them back
Be happy once again
Shut them down
Be yourself again
Leave me alone
Leave me be
I owe you nothing
I asked for nothing
I care for one thing
I wish for something
For me to be able to feel
Anything again
Get back up
Feel everything again
Heal back on
Don't let this be the end
Fight them back
Be happy once again
Shut them down
Be yourself again
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30. |
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31. |
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32. |
||||
Cyber solitude
Laser attitude
Il chasse les galaxies
Dans le noir
Dans le noir
De trou noir en trou d’ver
et d’Été en hiver
Il hiberne
Mercenaire interstellaire
Corsaire de lumière
Éric Lambert
Pourchassé par les flics
Éric a peur
Pas le droit à l’erreur
Éric a peur
Du noir
Du noir
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33. |
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Tout s’embrase et
J’appelle en vain la brume
Je me rappelle
D’aimer la tarentule
Ou de croquer
Dans une tranche
De pastèque
Je te retrouverai sous un arbre fleuri
Nos robes entrecroisées dans un dernier sourire
Le sommeil nous y guette
Sans repos pour nos âmes écarlates
Tout s’embrase et
J’appelle en vain la brume
Je me rappelle
D’aimer la tarentule
Ou de croquer
Dans une tranche
De pastèque
Même si t’es presque rendue dans le noir
Que ton pouls palpite plus fort que moi
Mêmes si t’es presque rendue dans le noir
Danse un peu de java encore car
Le sommeil nous guette
Sans repos pour nos âmes écarlates
Je te retrouverai sous un arbre fleuri
Nos robes entrecroisées dans un dernier sourire
Et le sommeil nous guette
Sans repos pour nos âmes écarlates
|
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34. |
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35. |
||||
Une 24 de cinquante ou six pack de 1664,
Couché d’un parc avec mes chums de pabst
Easy life, tough morning, faut que j’slaque
Ma vie est plate, pis ma bière est flatte
J’suis twisté comme un sushi qu’on aurait noyé d’une cruche de sake,
Gaufré des deux côtés
Puffer au bong c’est plus ma game depuis que je sais rouler,
Oh non c’est comme
La première fois dans les bois les Brass Monkey,
La première fois qu’on m’a tendu un juicy
Pu jamais évidement que je me suis dit,
Pu jamais que je me suis dit
Se réveiller amoureux aux côtés de son ex
J’aurais du slaquer sur le gin la veille comme un loser qui se respecte
Je t’avouerais qu’à matin le déjeuner il me tente pas
Faque, je vais verser du bourbon dans un soda kombucha.
La vie mérite d’être vécue pour le déséquilibre des bières en fût,
De plus en plus deep dans ton sourire qui pue
Les dents pourries, le fond du baril, you know me,
Un alcoolique sans alibi, so let me pee
Taï chi sur la plage, les genoux plient et tu vomis
C’est les matins que j’ai choisi,
Mais c’est pas ce que vous dirait mon psy,
Oh non c’est pas ce que vous dirait mon psy
Se réveiller amoureux aux côtés de son ex
J’aurais du slaquer sur le gin comme un loser qui se respecte
Je t’avouerai qu’à matin le déjeuner il me tente pas
Faque, je vais verser du bourbon dans un soda kombucha.
On est tu bien collé amoureux aux côtés de son ex
C’est mieux que se désaouler en p’tite boule dans une douche frette,
Je t’avouerais qu’à matin le déjeuner il me tente pas
Faque, je vais verser d’la mort à rat dans un soda kombucha.
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36. |
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37. |
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Oublie ça
J’y crois plus
J’aurai pas de souliers secs c’t’été
J’ai bin beau inventer des techniques
De survies sophistiquées
Ça fait déjà 2 semaines
Que je suis perdu su’l’bord du feu
Je sais pertinemment pas quoi faire
Si jamais il pleut
Mon imperméable m’attire dehors
A chaque fois qu’il peut
Oublie ça
Ma vieille tente
Va prendre au moins un 6 jours à sécher
J’ai bin beau la rêver en désert
Je dors toujours un peu tremper
Ça fait déjà 2 semaines
Que je suis pendu su’l’bord du feu
Je sais pertinemment pas quoi faire
Si jamais il pleut
Mon imperméable m’attire toujours
Dans les pires déluges
Oublie ça
J’vois plus rien
Tout est flou
Mes yeux baignent dans l’humidité
J’ai bin beau les griller en guimauves
Au moins les caraméliser
Je suis encore imbibé du chavirage
La mousson dégouline hors de mon visage
Ça fait déjà 2 mois
Que j’ai fondu su’l’bord du feu
Je sais délibérément pas quoi faire
Si jamais il pleut
Mon imperméable m’accuse à tort
D’être malheureux
Mon imperméable m’accuse à tor
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38. |
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Psychonaute Hochelaga
La 125 a passera pas
L'hiver en vient au boute de moi
Un train d'enfer pi un haut-bois
Arrête d'y dire tu l'aimes encore
Fait chaud icitte fait frette dehors
Le cadre de porte est ben trop bas
La 125 a passera pas
Vol d'identité
Vol d'identité
Un peu d'épice dans mon tabac
Y disent qu'y pleut mais y pleut pas
Pourquoi rien tourne autour de moi
La marée haute à Hochelaga
Tout l'monde veut être mon avocat
Rien à être fier j'suis juste née là
Autour d'mon cass y'a un aura
La 125 a passera pas
Vol d'identité
Vol d'identité
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Atondo Musique Montreal, Québec
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